lundi 24 juin 2013

Arrivée de Jesper Ganslandt dans l'équipe



Le scénariste Dylan Kussman a confirmé aujourd'hui sur son twitter que Jesper Ganslandt a rejoint l'Équipe de Mission: Blacklist en tant que réalisateur au côté de Erik Jendresen.




Vous pouvez en apprendre un peu plus sur ce jeune réalisateur Suédois grâce à sa page Wikipedia ou Imdb.



Bienvenu dans l'Aventure Jesper :D







Sources: Twitter via MissionBlacklistFilm

mercredi 19 juin 2013

A la découverte de Mission: Black List #1


Lorsqu'une adaptation de livre est faite au cinéma, j'aime toujours lire l'histoire avant d'aller voir ce que cela donne sur grand écran...

Cependant, je sais que pour certains d'entres vous la lecture n'a pas été possible, Mission: Black List #1 n'étant pas traduit.
Je vous propose donc de découvrir aujourd'hui le Prologue du livre que j'ai traduit rien que pour vous!
(N/A: Ce texte est propriété de HArper Collins, d'Eric Maddox et de Davin Seay. Cette traduction est personnelle et en aucun cas officielle.)




En attendant le tournage et la sortie du film, je vous proposerai fréquemment certains extraits afin que chacun puisse avoir une opinion mais aussi un avant-goût de la fabuleuse histoire de Monsieur Eric Maddox.

Bonne lecture!








"PROLOGUE

1400 15DEC2003

A cold blast of December air hit me as I made my way down the connecting corridor into the busy terminal of Heathrow Airport. Holiday travelers, hurrying home for Christmas, surrounded on every side. The crowded airport seemed like a surreal place, safe and clean and worlds away from the war I had been fighting. Despite the noise, all I could hear was the beating of my heart as !i thought back to the place I had just left. It was a whole other reality, one that changed forever not just who I was, but the world I was about to reenter.

I wanted that dreamlike feeling to last, that inward sense of satisfaction that I had done my job and completed my mission. But my focus right then was on another mission: to find my coming-home gifts for my two boys, Joe and Eric Marshall. In my travels, I always made a point of bringing back souvenirs for my young sons.There were no gift stores where I'd spent the last five months, so something quick and easy from the London airport would have to do. But the Tony Blair bobble heads and Big Ben shot glasses in the gift store probably weren't going to do the trick. As I looked around for something more suitable, a television in an airport pub acroos the way caught my eye.

I wasn't the only one. A small crowd began to gather, watching the breaking news report. On screen, a man walked up to a podium in a room filled with cameras and reporters. His name appeared as he cleared his throat and leaned into the microphones: Ambassador L. Paul Bremer, the head of the Coalition Provisional Authority in Iraq.

The noise of the airport seemed to die down as we strained to hear what he would say. It was as if we somehow already knew that this was one of those events we would always remember, a key moment in history.

"Ladies and gentlemen," Bremer said. "We got him"

There were probably only a handful of people in the world watching at that moment who didn't know what Bremer was talking about. But his next words left no doubt. "Saddam Hussein was captured Saturday, December thirteenth, at eight-thirty P.M. local time in a cellar in the town of Ad Dawr, which is some fifteen kilometers south of Tikrit."

The sound of cheering in the pressroom blended into the buzz of the crowd around me, a mix of surprise and skepticism. An old man at the bar turned to his friend and said, "They had him the whole time. Bush is bringing him out now just to win the bloody election."

I closed my eyes and smiled as the two drinking buddies agreed that the capture of the most wanted man in the world was nothing more than a political stunt. The truth was, there was only one person at that bar, in that airport, or anywhere else for that matter, who knew the real story of Saddam Hussein's capture.

I was that person.

An hour later, I was still thinking about that chatter in the pub as I settled into my seat for the long flight home. Maybe the real story of the hunt for Saddam would never be known. But if it ever was told, here would it begin? As we lifted into the murky London sky, I looked down on the city below. I remembered another landscape I'd once flown over, a long way from these peaceful rows of suburban houses. It seemed as good a place as any to start."

En voici la traduction maison!

"PROLOGUE

1400 15DEC2003

Un courant d'air froid de décembre me frappa alors que je me dirigeai vers le couloir de correspondance noir de monde du terminal de l'aéroport Heathrow. Les vacanciers, se pressant de rentrer chez eux pour Noël, m'entouraient de toute part. L'aéroport surchargé semblait être un endroit surréel, sûr et propre et à mille lieux de la guerre où j'ai dû combattre. Malgré le bruit, la seule chose que je pouvais entendre était les battements de mon cœur alors que je repensais à l'endroit que je venais juste de quitter. C'était une toute autre réalité, une qui a changé non seulement qui j'étais, mais le monde que je m'apprêtais à retrouver.

Je voulais que ce sentiment de rêve éveillé dure, ce sentiment intérieur de satisfaction d'avoir fait mon travail et complété ma mission. Mais ma préoccupation à cet instant-là était une autre mission: trouver des cadeaux souvenirs pour mes deux garçons, Joe et Eric Marshall. Pendant mes voyages, j'ai toujours mis un point d'honneur à ramener des souvenirs pour mes jeunes fils. Il n'y avait pas de boutiques de souvenirs là où j'ai passé ces cinq derniers mois, alors trouver quelque chose rapidement et facilement dans l'aéroport de Londres devra suffire. Mais la figurine de Tony Blair bougeant sa tête et les verres à shot Big Ben de la boutique de souvenirs n'allaient probablement pas convenir. Alors que j'observais aux alentours pour quelque chose de plus approprié, une télévision dans un pub de l'aéroport à mi-chemin attira mon regard.

Je n'étais pas le seul. Une petite foule commença à se rassembler, regardant l'édition spéciale. Sur l'écran, un homme avança jusqu'au podium se trouvant dans une pièce remplie de caméras et de journalistes. Son nom apparut alors qu'il se raclait la gorge et se pencha vers les micros: Ambassadeur L. Paul Bremer, dirigeant de la Coalition d'autorité provisoire de l'Irak.

Le bruit de l'aéroport sembla s'estomper alors que nous attendions avec tension ce qu'il allait dire. C'était comme si nous savions déjà qu'il s'agissait de l'un de ces événements dont on se souviendrait toujours, un moment clé de l'histoire.

"Mesdames et messieurs," dit Bremer. "Nous l'avons eu."

Il y avait probablement une poignée de personnes dans le monde qui regardaient ce moment et qui ne savaient pas de quoi Bremer parlait. Mais ces prochains mots ne laissèrent aucun doute. "Saddam Hussein a été capturé samedi 13 décembre, à 20h30 heure locale dans une cave de la ville Ad Dawr, se trouvant à 15 kilomètres au sud de Tikrit."

Le son des acclamations de la conférence de presse se mêla au buzz de la foule autour de moi, un mélange de surprise et de scepticisme. Un vieil homme au bar se tourna vers son ami et lui dit, "Ils l'avaient depuis le début. Bush le dévoile maintenant seulement pour gagner ces foutues élections."

Je fermais les yeux et souriais alors que les deux amis de comptoir se mirent d'accord sur le fait que la capture de l'homme le plus recherché au monde n'était ni plus ni moins qu'une cascade politique. La vérité était, il n'y avait qu'une personne dans ce bar, dans cet aéroport, ou partout ailleurs en réalité, qui connaissait la véritable histoire de la capture de Saddam Hussein.

J'étais cette personne.

Une heure plus tard, je pensais toujours à cette discussion au pub alors que je m'installais dans mon siège pour le long vol de retour à la maison. Peut être que la véritable histoire de la traque de Saddam ne sera jamais connue. Mais si elle devait l'être, où devrait-elle commencer? Alors que nous décollâmes vers le ciel obscur de Londres, j'observais la ville en-dessous. Je me remémorais un autre paysage au-dessus duquel j'ai volé, à des lieux de ces rangées de maisons de banlieue tranquilles. Cela me semble être un endroit parfait pour commencer."

Voici donc un petit aperçu du livre mais aussi de la personne qu'est Eric Maddox.

Je trouve qu'il est très intéressant et en tant que lectrice, il arrive tout de suite à captiver et à donner envie de connaitre cette histoire...
Je dirai que ce prologue met en bouche mais ce n'est que mon opinion!

Et je ne vous cache pas que j'imagine déjà Robert Pattinson au milieu d'Heathrow, revivant des souvenirs de la capture de l'homme le plus recherché du monde...

A voir si ce prologue fera ou non partie de l'adaptation filmographique.

En tout cas, n'hésitez pas à donner votre opinion et pour celles qui peuvent lire l'anglais je vous conseille vraiment de lire ce livre.

A tout bientôt avec, je l'espère, des nouvelles du tournage de Mission: BlackList #1

vendredi 7 juin 2013

Une subvention pour Mission: Black List ?

En début de semaine, le site internet The Hollywood Reporter a révélé une liste de films, séries ou encore téléfilms qui pourraient bénéficier d'une subvention donnée par l'Etat de Californie.

En effet, depuis 2009, l'Etat californien offre à de nouveaux projets la possibilité de se réaliser mais aussi de faire parler d'eux. Ainsi, 100 millions de Dollars sont mis à disposition des productions pour que leurs projets voient le jour.

31 projets ont été dévoilé et Mission: Black List se retrouve 7ème au classement.

A noter que cette liste n'est pas encore définitive, seuls les projets se déroulant dans l'Etat et cette année (fiscale) pourront bénéficier de cette aide. Si des reports ou des changements de location sont faits, les projets se voient retirer de cette liste et d'autres (qui se trouvent sur liste d'attente) prendront leur place.

Je vous propose donc de jeter un petit coup d'œil à cet article! Comme d'habitude traduction maison.

Source 1 (The Hollywood Reporter)
Source 2 (missionblacklistfilm.com)



"'Entourage', le film, approuvé parmi 31 projets pour des crédits d'impôts

Pour la cinquième année consécutive, l'Etat cède 100 millions de Dollars afin de permettre aux productions de filmer sur place -- 14 films, 12 séries câblées et deux téléfilms ce sont qualifiés pour 2013.

Le film Entourage, les séries câblées Bunshead et Major Crimes et le téléfilm Cloudy With A Chance of Love figurent parmi les projets amenés à se partager jusqu'à 100 millions de crédits d'impôts de la part de l'Etat de Californie pour l'année fiscale débutant du 1er juillet 2013 jusqu'au 30 juin 2014.

La liste des 31 projets qualifiés inclus 14 films, 12 séries câblées de base, deux séries relocalisées et deux films de la semaine. Les séries relocalisées, qualifiées pour un crédit de 25% sont la quatrième saison de la série MTV Teen Wolf et la série TNT King & Maxwell.

C'est la cinquième année consécutive que l'Etat rend disponible une subvention sous un programme mis en place en 2009. Ces films listés ci-dessous n'auront pas tous accès à la subvention -- certains ne se feront pas ou changeront d'Etat, et de nombreux projets télévisés sont en attente de renouvellement. Il y a une liste d'attente de projets qui sera alors remontée pour qu'ils soient qualifiés dans la possibilité d'avoir une subvention.

Voici la liste complète des projets :

(Voir les deux dernières captures d'écran : Mission: Black List apparaît sur la première capture)"

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Comme l'article le précise, rien n'est encore jouer, d'autant plus que Mission: Black List n'a pas encore de location certaine concernant son tournage.
 
Pour le moment rien n'a été précisé, nous attendons (un peu comme d'habitude) des nouvelles.
 
Sur un autre front, après avoir vérifié pour la énième fois sur le site Embankment Films, il semblerait que le nom de Jean-Stéphane Sauvaire ait encore disparu...
Pour le moment, le nom d'un réalisateur reste vague et nous espérons pouvoir mettre un visage sur celui qui tournera ce film que Dylan Kussman a qualifié d'une œuvre "jamais vue auparavant".
 
En attendant, histoire à suivre...